Passé en 2 couches minimum, il permet de débarrasser le bois des éventuels insectes ou champignons. Son action est aussi bien curative que préventive.

C’est le « déshabillage » du meuble. Souvent recouvert de vieilles cires ou de vernis, le meuble doit être remis à nu avant toute autre intervention. Un nettoyage minutieux est systématique, puis un ponçage ou un aérogommage permettent de retrouver l’essence brute.

Il s’agit d’une première couche qui vise à préparer la surface et à garantir une meilleure application de la peinture. Les couches d’apprêts agissent comme une base et garantissent les fondations d’une peinture sans défaut.

Les éléments de quincaillerie sont indispensables pour fixer, par exemple, une porte de meuble, les charnières, fiches et paumelles permettent le mouvement de rotation de la partie mobile par rapport à la partie fixe. De nombreux modèles sont disponibles : charnière invisible ou universelle, paumelle en inox ou en acier, fiche à visser ou à lacet.

Nous parlons ici d’une couche de protection. La plupart du temps transparente, cette couche vient figer et protéger la surface du meuble. Elle peut être brillante ou mate et peut s’appliquer au pinceau plat, au pinceau boule ou bien encore au chiffon selon le produit et le résultat escompté.

Ce principe s’utilise généralement pour mettre en valeur tout ou partie des éléments décoratifs du meuble, ou encore certains ornements. Une jolie moulure, un chanfrein particulier… peuvent être mis en valeur en ajoutant par exemple une patine dorée. Ces techniques visent à mettre en avant les reliefs du mobilier. Patine, céruse ou lavis sont les techniques les plus courantes.